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Ne sous-estimer pas la puissance d'un band de cover
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inside_lezzeppelin21Il n’est pas toujours évident d’inviter une jolie jeune femme souper à La Queue de Cheval lorsqu’on est musicien. 0,99$ le single sur iTunes divisé entre les membres c’est long longtemps avant de devenir un bon montant.

Il y a une excellente solution pour arrondir ses fins de mois, la connaissez-vous?

Faire des spectacles et jouer les chansons des autres.

Faire des covers, c’est payant!

Si pour certains ça semble être de la prostitution, prenez quelques minutes pour bien mijoter ceci.

– C’est plus facile de vendre/booker un show de matériel déjà connu.
– C’est plus de temps à gratter sur ta guitare, donc plus de pratique.
Les Beatles ont commencé comme un band de cover…
– Ça vous permet de sortir de votre groupe officiel et de rencontrer d’autres personnes.
– Il est plus facile de faire de la promo croisée et de jaser de votre vrai band à des gens souriants qui viennent de danser pendant 2h sur les meilleures tounes de Nevermind.
– Jouer dans un mariage c’est payant.
– Jouer, jouer, jouer (vous devez avoir 10 000 heures de pratique selon Malcolm Gladwell)

Les covers sont souvent perçus négativement par les « vrais » musiciens j’ai cru remarquer. Il est bon de savoir que pour un public, il n’y a rien de plus réconfortant que de jouer dans un terrain connu. Vous les gagnez à tout coup et il sera alors plus facile de vendre votre propre show.

Voilà.

Gâtez-vous avec ce petit vidéo réconfortant d’un Thom York qui revisite The Rip de Radiohead.

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